Références
↑1 | Décret de la Congrégation pour les Évêques, signé par cardinal Re le 21 janvier 2009. |
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↑2 | « Lettre accordant l’indulgence à l’occasion du jubilé extraordinaire de la miséricorde » du Pape François, le 1er septembre 2015. Les fidèles qui, au cours de l’année de la miséricorde (8 décembre 2015 – 20 novembre 2016), se confesseront auprès des prêtres de la FSSPX « recevront une absolution valide de leurs péchés ». À la fin de cette année, cette mesure fut prorogée sine die dans la Lettre apostolique Misericordia et misera du 21 novembre 2016. |
↑3 | Lettre du président de la Commission pontificale Ecclesia Dei aux Conférences épiscopales du 27 mars 2017, DC, n° 2527, juillet 2017, pp. 116 ss. |
↑4 | Philippe Toxé, o. p., Doyen honoraire de la Faculté de droit canonique de Paris, « La levée de l’excommunication de quatre évêques de la Fraternité sacerdotale Saint-Pie-X », L’Année Canonique, tome XLIX (2007), p. 425. |
↑5 | Yves Daoudal, « Quatre livres après les sacres d’Écône », La Pensée catholique, n° 239, mars-avril 1989, p. 86. Ceux qui ont fait « une faute bien plus grave », ce sont les théologiens et les pasteurs progressistes qui sont responsables de la crise dans l’Église qui est de l’ordre de la foi. |
↑6 | À une question qui lui était posée en 1991 par des supérieurs Ecclesia Dei : « Quels sont les fidèles que nous devons considérer comme schismatiques parce qu’ils adhèrent formellement à l’acte schismatique du 30 juin 1988 ? », le Cardinal Ratzinger a répondu : « Ceux qui refusent de communier à vos messes ». La réponse du Conseil pontifical pour les textes législatifs en 1996 (Communicationes, XXIX, 1997, pp. 239-243) ira dans ce sens, en précisant que, pour les fidèles, l’adhésion formelle à l’acte schismatique évoquée par Ecclesia Dei, n° 5c était constituée par deux éléments : « a) Le premier est de nature intérieure : partager librement et consciemment l’essentiel du schisme, à savoir opter pour les disciples de Lefebvre de façon telle que ce choix prenne le pas sur l’obéissance au Pape. b) Le deuxième est de nature extérieure : c’est l’extériorisation de cette option. Le signe le plus évident en sera la participation exclusive aux fonctions ecclésiastiques lefebvriennes, sans prendre part aux fonctions de l’Église catholique ». Précisons : même celles où il n’y a aucun problème de rite. |
↑7 | Lettre du district de France pour la célébration des mariages du 2 juillet 2019 : « Si pour une raison quelconque on se devait d’assister à un mariage, hors de nos chapelles, fait par délégation, mais où l’on ne pourrait que marier sans dire la messe et/ou sans prêcher, on assistera in nigris » (point n° 2) ». In nigris : c’est-à-dire revêtu de la soutane mais non du surplis. |
↑8 | Cajetan, in IIam-IIæ, q. 39, a. 1, n° 2, traduction cardinal Journet. |
↑9 | Document de travail envoyé par l’abbé Davide Pagliarani à Mgr Fellay, alors Supérieur général, en vue d’une réunion des supérieurs majeurs de la Fraternité qui eut lieu à Anzère en juin 2016. Soulignement de nous. La conférence que l’abbé Pagliarani a donnée après son accession à la charge de Supérieur général, le 15 janvier 2022 au XVIe Congrès de théologie du Courrier de Rome, va dans le même sens : https://laportelatine.org/formation/crise-eglise/garder-la-tradition-et-la-transmettre |
↑10 | Cette attitude est objectivement schismatique, mais elle n’entraîne pas le schisme subjectif de tous ceux qui la pratiquent. |
↑11 | L’échange a été rendu public, cf. https://www.riposte-catholique.fr/archives/81727. |
↑12 | Concile de Trente, Session XXIII, Décret sur le sacrement de l’ordre, Denzinger-Schönmetzer [DS], 1777. |
↑13 | Il faut faire une exception pour les procédures de perte de l’état clérical. |
↑14 | Dans un entretien avec l’abbé Bisig le 23 juillet 2014, le pape émérite Benoît XVI a confirmé : « Der hl. Papst Johannes Paul II hatte die feste Absicht bis spätestens am 15. August 88 einen Priester aus der FSSPX selbst zum Bischof zu konsekrieren (le saint pape Jean-Paul II avait la ferme intention de consacrer lui-même un prêtre de la FSSPX comme évêque au plus tard le 15 août 1988 » (notes écrites immédiatement après l’audience par l’abbé Bisig). |