Références
↑1 | Cf. C. Journet, L’Église du Verbe Incarné. Essai de théologie spéculative, t. 1 : La hiérarchie apostolique, Paris, Desclée de Brouwer, 1955, p. xi. La cause efficiente, en philosophie, c’est « ce qui produit » une réalité (par exemple, le sculpteur « produit » une statue de Notre-Dame) ; la cause finale, c’est « pourquoi » (ou « pour quoi ») une réalité existe ou agit (par exemple, le sculpteur veut honorer Notre-Dame). L’apostolicité est la cause efficiente, la sainteté la cause finale de l’Église. |
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↑2 | Dans le cas d’évêques validement ordonnés, mais sans communion avec le Pape (par exemple, ceux des Églises orientales séparées, ou Orthodoxes), on parlera d’apostolicité « matérielle » ou « partielle » ; cf. C. Journet, L’Église du Verbe Incarné, t. 1, p. 698, note 1. |
↑3 | On peut prendre pour image la croissance d’un chêne à partir d’un gland : c’est le même gland qui devient un chêne. |
↑4 | Ep 5, 27 |
↑5 | N°827 |