Parce que Dieu est amour, il permet l’Enfer
Comment un Dieu miséricordieux peut-il permettre un enfer éternel ?
Comment un Dieu miséricordieux peut-il permettre un enfer éternel ?
L’enfer, mystère du refus éternel de l’amour de Dieu : que dit réellement l’Église ?
Réalité ou menace fantomatique ? La doctrine de l’Église sur l’Enfer.
Quelle destinée après la mort ? Ce que la science ne pourra jamais nous dire est révélé et transmis par l’Eglise. Notre dossier : les fins dernières.
Aujourd’hui, la doctrine des limbes est sérieusement contestée. Il n’est pas possible de parcourir en quelques lignes tout le « dossier » constitué par cette discussion, mais nous pouvons examiner quelques objections qui résument les difficultés opposées à la doc-trine des limbes. Ce sera l’occasion de préciser certains points.
La fête des Saints Innocents, martyrs dès leurs premières semaines, pose la question de la destinée éternelle des petits enfants qui meurent sans le baptême, donc avec le péché originel, mais sans faute personnelle ? Le dogme catholique n’apporte pas de réponse catégorique, mais la théologie classique a formulé une hypothèse bien connue : les limbes des petits enfants.
L’enseignement de l’Église sur les fins dernières est souvent travesti, caricaturé ou mitigé pour correspondre aux tabous de notre temps : peut-on choisir sa destinée éternelle après la mort, y a-t-il une possibilité d’ « option finale » dans la mort ?
Le tabou dont la société moderne entoure la fin de vie s’étend jusque dans l’Église, dont l’enseignement sur l’impossibilité de se déterminer après la mort est trop souvent obscurci ou mal compris.
Un beau film vient nous rappeler à l’essentiel : que se passe-t-il après la mort ?
Comment un Dieu miséricordieux peut-il permettre un enfer éternel ?
L’enfer, mystère du refus éternel de l’amour de Dieu : que dit réellement l’Église ?
Réalité ou menace fantomatique ? La doctrine de l’Église sur l’Enfer.
Quelle destinée après la mort ? Ce que la science ne pourra jamais nous dire est révélé et transmis par l’Eglise. Notre dossier : les fins dernières.
Aujourd’hui, la doctrine des limbes est sérieusement contestée. Il n’est pas possible de parcourir en quelques lignes tout le « dossier » constitué par cette discussion, mais nous pouvons examiner quelques objections qui résument les difficultés opposées à la doc-trine des limbes. Ce sera l’occasion de préciser certains points.
La fête des Saints Innocents, martyrs dès leurs premières semaines, pose la question de la destinée éternelle des petits enfants qui meurent sans le baptême, donc avec le péché originel, mais sans faute personnelle ? Le dogme catholique n’apporte pas de réponse catégorique, mais la théologie classique a formulé une hypothèse bien connue : les limbes des petits enfants.
L’enseignement de l’Église sur les fins dernières est souvent travesti, caricaturé ou mitigé pour correspondre aux tabous de notre temps : peut-on choisir sa destinée éternelle après la mort, y a-t-il une possibilité d’ « option finale » dans la mort ?
Le tabou dont la société moderne entoure la fin de vie s’étend jusque dans l’Église, dont l’enseignement sur l’impossibilité de se déterminer après la mort est trop souvent obscurci ou mal compris.
Un beau film vient nous rappeler à l’essentiel : que se passe-t-il après la mort ?