Pourquoi les miracles eucharistiques ?
Comment les miracles eucharistiques viennent affermir notre foi
Comment les miracles eucharistiques viennent affermir notre foi
Matière et forme des sacrements peuvent-il changer sans affecter la validité ?
Parmi les outrages que Notre-Seigneur eut à subir durant sa Passion, il y eut la parodie de couronnement à laquelle se prêtèrent les soldats :
« Les soldats, tressant une couronne avec des épines, la lui posèrent sur la tête, et ils le revêtirent d’un manteau de pourpre ; et ils s’avançaient vers lui et disaient : “Salut, roi des Juifs !” Et ils lui donnaient des coups. […] Jésus sortit donc dehors, portant la couronne d’épines et le manteau de pourpre ; et Pilate leur dit : “Voici l’homme !” »
On n’aime pas le voir arriver, et pourtant il est déjà là … qu’est-ce que le Carême ?
Aujourd’hui, la doctrine des limbes est sérieusement contestée. Il n’est pas possible de parcourir en quelques lignes tout le « dossier » constitué par cette discussion, mais nous pouvons examiner quelques objections qui résument les difficultés opposées à la doc-trine des limbes. Ce sera l’occasion de préciser certains points.
La fête des Saints Innocents, martyrs dès leurs premières semaines, pose la question de la destinée éternelle des petits enfants qui meurent sans le baptême, donc avec le péché originel, mais sans faute personnelle ? Le dogme catholique n’apporte pas de réponse catégorique, mais la théologie classique a formulé une hypothèse bien connue : les limbes des petits enfants.
L’enseignement de l’Église sur les fins dernières est souvent travesti, caricaturé ou mitigé pour correspondre aux tabous de notre temps : peut-on choisir sa destinée éternelle après la mort, y a-t-il une possibilité d’ « option finale » dans la mort ?
Le tabou dont la société moderne entoure la fin de vie s’étend jusque dans l’Église, dont l’enseignement sur l’impossibilité de se déterminer après la mort est trop souvent obscurci ou mal compris.
Claves lance une série de formation apologétique, de quoi s’agit-il ?
Coincé entre l’Ascension et la Pentecôte, ce n’est pas un dimanche en rose mais le dimanche des roses…
L’offertoire, porte d’entrée dans le sacrifice du Christ
Comment les miracles eucharistiques viennent affermir notre foi
Matière et forme des sacrements peuvent-il changer sans affecter la validité ?
Parmi les outrages que Notre-Seigneur eut à subir durant sa Passion, il y eut la parodie de couronnement à laquelle se prêtèrent les soldats :
« Les soldats, tressant une couronne avec des épines, la lui posèrent sur la tête, et ils le revêtirent d’un manteau de pourpre ; et ils s’avançaient vers lui et disaient : “Salut, roi des Juifs !” Et ils lui donnaient des coups. […] Jésus sortit donc dehors, portant la couronne d’épines et le manteau de pourpre ; et Pilate leur dit : “Voici l’homme !” »
On n’aime pas le voir arriver, et pourtant il est déjà là … qu’est-ce que le Carême ?
Aujourd’hui, la doctrine des limbes est sérieusement contestée. Il n’est pas possible de parcourir en quelques lignes tout le « dossier » constitué par cette discussion, mais nous pouvons examiner quelques objections qui résument les difficultés opposées à la doc-trine des limbes. Ce sera l’occasion de préciser certains points.
La fête des Saints Innocents, martyrs dès leurs premières semaines, pose la question de la destinée éternelle des petits enfants qui meurent sans le baptême, donc avec le péché originel, mais sans faute personnelle ? Le dogme catholique n’apporte pas de réponse catégorique, mais la théologie classique a formulé une hypothèse bien connue : les limbes des petits enfants.
L’enseignement de l’Église sur les fins dernières est souvent travesti, caricaturé ou mitigé pour correspondre aux tabous de notre temps : peut-on choisir sa destinée éternelle après la mort, y a-t-il une possibilité d’ « option finale » dans la mort ?
Le tabou dont la société moderne entoure la fin de vie s’étend jusque dans l’Église, dont l’enseignement sur l’impossibilité de se déterminer après la mort est trop souvent obscurci ou mal compris.
Claves lance une série de formation apologétique, de quoi s’agit-il ?
Coincé entre l’Ascension et la Pentecôte, ce n’est pas un dimanche en rose mais le dimanche des roses…
L’offertoire, porte d’entrée dans le sacrifice du Christ