Les péchés contre l’espérance
Après avoir médité sur la vertu d’espérance. Il reste à évoquer les deux péchés qui s’y opposent.
Après avoir médité sur la vertu d’espérance. Il reste à évoquer les deux péchés qui s’y opposent.
La semaine dernière, nous avons parlé de la vertu d’espérance. Nous méditerons aujourd’hui sur les rapports qu’elle entretient avec les deux autres vertus théologales, la foi et la charité.
Le troisième dimanche de l’Avent est appelé « Dimanche de Gaudete » car saint Paul y proclame Gaudete in Domino semper, iterum dico : Gaudete{{Ph 4, 4}} (soyez toujours joyeux dans le Seigneur, je le répète : soyez joyeux). [La joie de la liturgie se reflète dans les ornements roses, un violet adouci]. C’est le thème de l’Avent : « Joyeux dans l’espérance{{Cf. Rm 12, 12}} ». Mais pourquoi l’espérance chrétienne rend-elle joyeux ? En raison de son objet, de sa certitude et de ses conséquences pratiques.
D’après une étude sur le bien-être et la santé mentale en Belgique, 3 personnes sur 10 peuvent être considérées comme dépressives ou anxieuses ; plus d’une personne sur deux est pessimiste quant à l’avenir
Aujourd’hui, la doctrine des limbes est sérieusement contestée. Il n’est pas possible de parcourir en quelques lignes tout le « dossier » constitué par cette discussion, mais nous pouvons examiner quelques objections qui résument les difficultés opposées à la doc-trine des limbes. Ce sera l’occasion de préciser certains points.
La fête des Saints Innocents, martyrs dès leurs premières semaines, pose la question de la destinée éternelle des petits enfants qui meurent sans le baptême, donc avec le péché originel, mais sans faute personnelle ? Le dogme catholique n’apporte pas de réponse catégorique, mais la théologie classique a formulé une hypothèse bien connue : les limbes des petits enfants.
« Il faut qu’il croisse et que je diminue » Sermon pour saint Jean-Baptiste
Contempler le mystère des trois Personnes avec Élisabeth de la Trinité
Sept dons sacrés pour nous orienter à suivre les inspirations divines
Grâce, vertus, dons : comment atteindre la cible, même lorsqu’elle est hors de notre portée ?
Après avoir médité sur la vertu d’espérance. Il reste à évoquer les deux péchés qui s’y opposent.
La semaine dernière, nous avons parlé de la vertu d’espérance. Nous méditerons aujourd’hui sur les rapports qu’elle entretient avec les deux autres vertus théologales, la foi et la charité.
Le troisième dimanche de l’Avent est appelé « Dimanche de Gaudete » car saint Paul y proclame Gaudete in Domino semper, iterum dico : Gaudete{{Ph 4, 4}} (soyez toujours joyeux dans le Seigneur, je le répète : soyez joyeux). [La joie de la liturgie se reflète dans les ornements roses, un violet adouci]. C’est le thème de l’Avent : « Joyeux dans l’espérance{{Cf. Rm 12, 12}} ». Mais pourquoi l’espérance chrétienne rend-elle joyeux ? En raison de son objet, de sa certitude et de ses conséquences pratiques.
D’après une étude sur le bien-être et la santé mentale en Belgique, 3 personnes sur 10 peuvent être considérées comme dépressives ou anxieuses ; plus d’une personne sur deux est pessimiste quant à l’avenir
Aujourd’hui, la doctrine des limbes est sérieusement contestée. Il n’est pas possible de parcourir en quelques lignes tout le « dossier » constitué par cette discussion, mais nous pouvons examiner quelques objections qui résument les difficultés opposées à la doc-trine des limbes. Ce sera l’occasion de préciser certains points.
La fête des Saints Innocents, martyrs dès leurs premières semaines, pose la question de la destinée éternelle des petits enfants qui meurent sans le baptême, donc avec le péché originel, mais sans faute personnelle ? Le dogme catholique n’apporte pas de réponse catégorique, mais la théologie classique a formulé une hypothèse bien connue : les limbes des petits enfants.
« Il faut qu’il croisse et que je diminue » Sermon pour saint Jean-Baptiste
Contempler le mystère des trois Personnes avec Élisabeth de la Trinité
Sept dons sacrés pour nous orienter à suivre les inspirations divines
Grâce, vertus, dons : comment atteindre la cible, même lorsqu’elle est hors de notre portée ?