Cofondateur et premier supérieur de la Fraternité Saint-Pierre, l’abbé Josef Bisig a plusieurs fois rencontré le cardinal Ratzinger et le pape Benoît et a pu faire l’expérience de son fort attachement au monde traditionnel.
Actualité
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« Vaincre ou mourir », la belle production de Puy du Fou films, aujourd’hui disponible dans les cinémas de France et de Navarre, présente la figure fougueuse et complexe de François-Athanase de Charette, officier de marine de l’ancien régime, hobereau vendéen et général chouan.
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Il y a dix ans, le 28 janvier 2013, le cher abbé Gaudray était rappelé à Dieu, à l’âge de 91 ans, dont près de vingt-cinq passés au service des séminaristes, en tant que professeur et surtout en tant que directeur spirituel. Tous les prêtres issus du séminaire de Wigratzbad ont été marqués et influencés par sa foi solide, sa bonhomie, sa simplicité, et son sens du devoir.
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Le thème des guerres de Vendée est réputé piégé, au point qu’il n’est presque jamais abordé au cinéma. « Vaincre ou mourir » est un beau film qui fait revivre toute l’horreur paradoxale de ces temps oubliés de notre histoire.
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Actualité
“Restez fermes dans la foi… le Christ est vraiment le chemin, la vérité et la vie.”
par Claves.orgpar Claves.orgHumilité dans la recherche inlassable de la vérité et du Christ : le testament spirituel du pape Benoît
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ActualitéThéologie
Benoît XVI, pape et théologien : le discours de Ratisbonne
par Claves.orgpar Claves.orgLe premier d’une série de trois grands discours sur la foi et la raison : résumant la réponse prophétique de Benoît XVI au relativisme de notre temps.
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Quel projet pour l’universalisme chrétien au XXIe siècle : unification spirituelle enracinée dans les identités nationales ou dissolution dans la mondialisation ?
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Retour en vidéo sur les circonstances historiques et géographiques de la naissance du Sauveur
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The Chosen : la série événement dévoile sa troisième saison, la seconde est diffusée en français
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La “consultation citoyenne” sur la fin de vie débute aujourd’hui. L’euthanasie est-elle vraiment la “bonne mort” que l’on veut nous faire accepter ?