Si tu veux porter du fruit 25
Pour progresser dans la vertu d’espérance, il faut la rendre plus solide en ses appuis et plus féconde dans ses résultats.
Pour progresser dans la vertu d’espérance, il faut la rendre plus solide en ses appuis et plus féconde dans ses résultats.
L’espérance théologale est bien différente du simple espoir humain. Elle a pour motif la toute puissance même de Dieu et nous permet donc d’avancer malgré fatigue et contradiction.
Une lecture d’”Espérer”, le dernier ouvrage de François-Xavier Bellamy
Théologales, cardinales… De la charité à la prudence, redécouvrez et apprenez à développer les vertus, nos armes dans le combat spirituel.
Après avoir médité sur la vertu d’espérance. Il reste à évoquer les deux péchés qui s’y opposent.
La semaine dernière, nous avons parlé de la vertu d’espérance. Nous méditerons aujourd’hui sur les rapports qu’elle entretient avec les deux autres vertus théologales, la foi et la charité.
Le troisième dimanche de l’Avent est appelé « Dimanche de Gaudete » car saint Paul y proclame Gaudete in Domino semper, iterum dico : Gaudete{{Ph 4, 4}} (soyez toujours joyeux dans le Seigneur, je le répète : soyez joyeux). [La joie de la liturgie se reflète dans les ornements roses, un violet adouci]. C’est le thème de l’Avent : « Joyeux dans l’espérance{{Cf. Rm 12, 12}} ». Mais pourquoi l’espérance chrétienne rend-elle joyeux ? En raison de son objet, de sa certitude et de ses conséquences pratiques.
D’après une étude sur le bien-être et la santé mentale en Belgique, 3 personnes sur 10 peuvent être considérées comme dépressives ou anxieuses ; plus d’une personne sur deux est pessimiste quant à l’avenir
« À leurs enfants, il prêche l’espérance »
Pour progresser dans la vertu d’espérance, il faut la rendre plus solide en ses appuis et plus féconde dans ses résultats.
L’espérance théologale est bien différente du simple espoir humain. Elle a pour motif la toute puissance même de Dieu et nous permet donc d’avancer malgré fatigue et contradiction.
Une lecture d’”Espérer”, le dernier ouvrage de François-Xavier Bellamy
Théologales, cardinales… De la charité à la prudence, redécouvrez et apprenez à développer les vertus, nos armes dans le combat spirituel.
Après avoir médité sur la vertu d’espérance. Il reste à évoquer les deux péchés qui s’y opposent.
La semaine dernière, nous avons parlé de la vertu d’espérance. Nous méditerons aujourd’hui sur les rapports qu’elle entretient avec les deux autres vertus théologales, la foi et la charité.
Le troisième dimanche de l’Avent est appelé « Dimanche de Gaudete » car saint Paul y proclame Gaudete in Domino semper, iterum dico : Gaudete{{Ph 4, 4}} (soyez toujours joyeux dans le Seigneur, je le répète : soyez joyeux). [La joie de la liturgie se reflète dans les ornements roses, un violet adouci]. C’est le thème de l’Avent : « Joyeux dans l’espérance{{Cf. Rm 12, 12}} ». Mais pourquoi l’espérance chrétienne rend-elle joyeux ? En raison de son objet, de sa certitude et de ses conséquences pratiques.
D’après une étude sur le bien-être et la santé mentale en Belgique, 3 personnes sur 10 peuvent être considérées comme dépressives ou anxieuses ; plus d’une personne sur deux est pessimiste quant à l’avenir
« À leurs enfants, il prêche l’espérance »