Le dernier élément d’une bonne confession : la pénitence ou satisfaction…
Théologie
-
-
Le rescrit donné en audience le 20 février dernier par le Souverain Pontife au cardinal Arthur Roche, préfet du Dicastère pour le Culte Divin et la Discipline des Sacrements, a encore fait couler de l’encre, sans que beaucoup se soient interrogés sur la nature et la portée de ce texte. Profitons de l’occasion pour introduire certaines distinctions entre les différents documents émanant du pape, du Saint Siège et de ses différents organismes.
-
L’absolution : la nécessaire formule qui exprime le pardon divin dans la confession
-
En semaine dernière, nous avons commencé une série de quatre articles sur les quatre parties du sacrement de Pénitence : contrition, confession, absolution, satisfaction. Aujourd’hui, nous continuons avec la confession.
-
La condition nécessaire d’une bonne confession
-
Une ou plusieurs vraies religions ? Le rôle des religions non-chrétiennes dans le salut des hommes.
-
Miracles et apparitions : phénomènes singuliers, extraordinaires, dans un monde séculier – Regards de foi et de théologie catholique
-
Après avoir médité sur la vertu d’espérance. Il reste à évoquer les deux péchés qui s’y opposent.
-
La semaine dernière, nous avons parlé de la vertu d’espérance. Nous méditerons aujourd’hui sur les rapports qu’elle entretient avec les deux autres vertus théologales, la foi et la charité.
-
Le troisième dimanche de l’Avent est appelé « Dimanche de Gaudete » car saint Paul y proclame Gaudete in Domino semper, iterum dico : Gaudete{{Ph 4, 4}} (soyez toujours joyeux dans le Seigneur, je le répète : soyez joyeux). [La joie de la liturgie se reflète dans les ornements roses, un violet adouci]. C’est le thème de l’Avent : « Joyeux dans l’espérance{{Cf. Rm 12, 12}} ». Mais pourquoi l’espérance chrétienne rend-elle joyeux ? En raison de son objet, de sa certitude et de ses conséquences pratiques.