Références
↑1 | Rm 8, 10 |
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↑2 | Ce que reconnaît Pie XII dans la Constitution Apostolique Munificentissimus Deus du 1er novembre 1950, n°31 |
↑3 | Le docteur cite notamment dans ce sens saint Augustin, cf. Commentaire du IVe Livre des Sentences, d. 45, q. 1, a. 2, qla 2, sed contra 2 |
↑4 | Catéchisme de l’Église Catholique, n°1022, voir à ce sujet les éclaircissements de l’abbé Berger de Gallardo |
↑5 | Dans le cas d’Eutyque (Ac 20, 6-12), tombé de la fenêtre durant un (long) discours de saint Paul, l’Apôtre le ramène immédiatement à la vie, déclarant même « Ne vous troublez pas, car son âme est en lui » (Ac 20, 10). Dans le cas parallèle de Tabitha (alias Dorcas, Ac 9, 36-42) en revanche, il semble que la mort ait été bien réelle. Lorsque saint Pierre, rapidement prévenu, arrive de Lydda à Joppé (deux villes situées aujourd’hui dans la banlieue de Tel Aviv, distantes d’une vingtaine de kilomètres), la défunte est déjà lavée et repose sur son lit de mort. Les termes qu’emploie saint Luc – le médecin – sont clairs et sans équivoque. Notons cependant que la construction littéraire du passage fait un lien évident avec la résurrection de la fille de Jaïre (rapportée par le même saint Luc en Lc 8), que Jésus introduit en renvoyant les pleureuses (également présentes autour de Tabitha) et en annonçant : « elle n’est pas morte, mais elle dort » (Lc 8, 52). |
↑6 | On trouvera une excellente présentation de cette hypothèse souvent mal comprise aujourd’hui dans les deux articles de l’abbé Berger de Gallardo. |
↑7 | On pourra approfondir cette question des expériences de mort imminente avec l’excellente présentation de l’abbé Vernier dans l’épisode 18 du Parcours Apologetica |