Références
↑1 | Jusqu’au concile Vatican II compris : Lumen Gentium 14 ; Unitatis Redintegratio 2. |
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↑2 | CdF, Communionis Notio : « Dans l’Église sur terre, il existe un rapport intime entre cette communion invisible et la communion visible dans la doctrine des Apôtres, dans les sacrements et dans l’ordre hiérarchique ». Cf. B.-D. de la Soujeole, « L’Église comme société… », cit., p. 245. : « Celle-ci [la communion ecclésiale] peut se spécifier de trois façons principales, en communion dans les sacrements, dans la confession de foi et dans la hiérarchie ». |
↑3 | Saint Robert Bellarmin, De Ecclesia militante, ch. 2. |
↑4 | C’est l’origine de la dimension symbolique du rite, et de la liturgie. |
↑5 | Ainsi, « Jésus-Christ accomplit la communion dans l’unité de la profession de foi” (Vatican II, Unitatis Redintegratio, 1, 2.) |
↑6 | Benoît XVI, Lettre aux évêques, aux prêtres, aux personnes consacrées et aux fidèles laïcs de l’Église catholique en République populaire de Chine, du 30 juin 2007, n° 13 (DC, n° 2384, p. 676). |
↑7 | Sébastien Leclère, « Débats courtois autour de Vatican II », TEP 108-109 (2007), p. 17-20. |
↑8 | Bernard Lucien, « Les degrés d’autorité du Magistère », TEP 122 (2009), p. 45-51. Ce dernier a également approfondi cette question, avec le P. de Blignières, dans la revue Sedes Sapientiae, notamment à propos des difficultés que semblaient poser la Déclaration sur la liberté religieuse Dignitatis Humanae. |
↑9 | Abbé Benoît Paul-Joseph, “Recevoir à l’aune de la Tradition“ |