Références
↑1 | J. Gaillard, osb, « Les sacrements de la foi », RT, 1959, 5-31 et 270-309. |
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↑2 | Sur cette notion cf. Louis Villette, Foi et Sacrement, T. II, p. 56-72, et Gaillard, loc. cit. p. 21-23. |
↑3 | Catéchisme de l’Église Catholique, n°1293. |
↑4 | Attention : « requis » pour l’usage du sacrement normal, légitime, conforme à la nature des choses ; pas nécessairement pour la validité. |
↑5 | Somme théologique, IIIa, q64, a2 ad3 |
↑6 | Commentaire de la somme théologique, revue des jeunes, t53 Les Sacrements qq. 60-65, A.-M. Roguet, 1945. |
↑7 | Somme théologique, IIIa, q61, a4. |
↑8 | Cité dans III, 61, 4, a1m. |
↑9 | Extrait de la thèse de l’abbé Franck Quoëx : « Le rite et le royaume. Culte et histoire du salut selon Thomas d’Aquin », p159 |
↑10 | C’est à dire du signe sensible composé de la matière et de la forme du sacrement, conditionnant sa validité. |
↑11 | Extrait de la thèse « Le rite et le royaume » de Franck Quoëx |
↑12 | Voir Somme théologique, III, Q48, a 6, ad 2 : « Quoique corporelle, la passion du Christ est dotée cependant d’une puissance spirituelle en raison de la divinité qui se l’est unie. Aussi obtient-elle son efficacité par un contact spirituel c’est-à-dire par la Foi et les sacrements de la Foi, selon la parole de S. Paul (Rm 3, 25) : “Dieu a destiné le Christ à servir de propitiation par la Foi en son sang.”». Voir aussi III,q 68, a8, ad1: “Dominus loquitur ibi de baptismo secundum quod perducit homines ad salutem secundum gratiam justificantem: quod quidem sine recta fide esse non potest”. Voir aussi In Hebr., 9, 14. |
↑13 | Pour P.H. schillebeeckx, dans Le Christ, sacrement…, Op. cit. “C’est dans la profession de Foi sacramentelle que l’Église céleste peut faire d’un élément terrestre ou d’un acte humain l’expression sacramentellement visible de son acte de salut céleste. En d’autres termes, c’est par la profession de Foi sacramentelle qu’un acte, de symbole humain, terrestre, devient le prolongement et la présence visible de l’acte de salut invisible du Christ céleste“ (p. 127). |
↑14 | Voir somme théologique, III, q49, a1, ad 5 Voir G. Berceville, dans Le sacerdoce du Christ dans le Commentaire de l’épître aux Hébreux, Op. cit. : “Lorsqu’elle considère l’effusion du sang, la Foi reconnaît le sang du Fils qui s’est incarné pour sauver les hommes, intercéder en leur faveur et les justifier. Le Sacrifice extérieur est ainsi cause du salut de l’homme, parce qu’il suscite en tant que signe l’acte intérieur de Foi. À travers ce qu’il donne à voir, il appelle à croire. L’homme s’en remet à Dieu en acceptant de passer de la considération du signe à la confession du signifié”. |
↑15 | Somme théologique, III, q 64, a2, ad3. |
↑16 | de par l’action opérée, à la position même de l’acte |