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Qu’est-ce que l’énnéagramme ? Un ouvrage critique

Les frères du Couvent Saint-Thomas d’Aquin de Chéméré-le-roi (Fraternité Saint-Vincent-Ferrier) nous font l’amitié de permettre la publication de cet article issu de leur revue trimestrielle Sedes Sapientiae (pour en savoir plus sur la revue : retrouvez cette vidéo de présentation).

Michelle Legrais collabore régulièrement à Sedes Sapientiæ. Outre de nombreuses pistes de lecture et recensions, elle a donné une série d’articles sur la psychanalyse et une autre sur le chant grégorien. Elle se consacre notamment à l’apostolat de l’éducation.

Anne Lécu, L’Ennéagramme n’est ni catho, ni casher, Paris, Les Éditions du Cerf, 2023, 188 pages.  

L’auteur et l’ouvrage

Anne Lécu est une religieuse dominicaine qui exerce la médecine dans une maison d’arrêt d’Ile-de-France depuis 1997. Dans cet ouvrage, elle explore le monde de l’ennéagramme. Le titre provocateur « ni catho » nous livre d’emblée une des conclusions de son enquête : l’incompatibilité entre l’ennéagramme et la doctrine catholique. Quant au « ni casher », c’est sans doute un choix de l’éditeur, car rien dans le livre ne le justifie. 

À la suite du travail de l’auteur sur l’emprise sectaire, diverses circonstances, dont « un appel téléphonique d’un membre de la Miviludes[1]Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires. inquiet de la présence envahissante que prend l’Ennéagramme dans les formations professionnelles en entreprise » (p. 28), l’incitent à se mettre au travail en vue de cette publication. L’ennéagramme a en effet envahi la société française dans les formations professionnelles, les stages psychologiques, les retraites spirituelles et certaines institutions ecclésiales, dans le cadre de tout ce qui contribue au développement personnel.

En préambule, l’auteur se pose deux questions : 

– À quoi attribuer la réussite et la force d’emprise de « cette méthode d’allure à la fois para-ésotérique et pseudo-scientifique » (p. 8) ? 

– Et pourquoi certains de ceux qui la pratiquent n’acceptent-ils pas la discussion ? 

Ce dernier trait correspond, « en sociologie, à l’imperméabilité des situations sectaires et, en épistémologie, à l’irréfutabilité des faux savoirs » (p. 9). L’auteur mène l’enquête avec pénétration dans un triple objectif : mettre en perspective les origines de l’ennéagramme ; apporter un éclairage sur son histoire et sur sa transmission ; émettre une mise en garde sur sa finalité ultime.

Trois chapitres structurent les conclusions de ses recherches. Dans le premier, l’auteur est en quête de l’ennéagramme. Dans le second, elle mène l’enquête sur son origine. Dans le troisième, elle en présente les quêteurs.

En quête de l’ennéagramme

La quête de l’ennéagramme permet de le situer dans la nébuleuse du développement personnel, « spiritualité alternative, autoproduite et autoréférente » (p. 13), née en Californie à l’instar du mouvement hippie. Son objectif est « la correction des défauts, la bonification des qualités et l’amplification des performances » (p. 14). L’auteur montre à quelles sources il puise : un mélange entre les sagesses anciennes et les technologies avancées, qui justifie des plans de réforme mentale et comportementale au coût parfois élevé. Le développement personnel représente en effet un vaste marché ; le chiffre d’affaires annuel global est évalué à près de 40 milliards de dollars. « Il représente un pan florissant du consumérisme dominant que résume le mot-valise de coaching ou de counseling » (p. 16). Cette précision est importante, car le développement personnel auquel se rattache l’ennéagramme ne repose sur aucune validation scientifique, aucune certification thérapeutique. Anne Lécu dénonce un marché dérégulé et menacé de dérives sectaires.

Après cette mise en garde, l’auteur présente les caractéristiques de l’ennéagramme. C’est une figure géométrique numérotée qui se présente sous la forme d’un cercle, sur la circonférence duquel sont placés neuf points régulièrement espacés, marqués par les chiffres 1 à 9 que relient des lignes fléchées. Cette représentation serait fondée sur les propriétés mystiques et cosmologiques attribuées aux nombres trois et sept selon les calculs suivants : 1/7 = 0,142857142857 et 1/3 = 0,33333. Tout nombre entier divisé par sept réitérera la même décimale. Les lignes fléchées reliant les points aboutissent nécessairement à reformer la séquence 142857. 

Les partisans de l’ennéagramme prêtent à ce diagramme une faculté totalisante et ils l’utilisent pour formaliser neuf types de personnalités, qui s’appliquent à tous les êtres humains. 1 correspond au perfectionniste, 2 à l’altruiste, 3 au battant, 4 au romantique, 5 à l’observateur, 6 au loyal, 7 à l’épicurien, 8 au protecteur, 9 au médiateur.

L’ennéagramme est à la fois un instrument de mesure et un outil d’ajustement, puisque l’analyse des types de la personnalité détermine les objectifs de la personne. En résumé, la pratique de l’ennéagramme permettrait de nous libérer de nos limitations et des automatismes qui se sont constitués en nous dès la naissance par des mécanismes de protection. Ces derniers ont formé peu à peu une stratégie la plus sécurisante possible, qui nous a figés sur notre point de vue et est devenue notre personnalité. Ces protections nous empêchent de développer tout notre potentiel.

L’auteur compare ensuite l’engouement pour cette technique à celui pour les « agapèthérapies », « les christothérapies » et autres « guérisons spirituelles », qui sont souvent justifiées par l’argument que le « soin psychologique » serait un préalable à la « conversion intérieure » (p. 27). La pratique de l’ennéagramme peut sembler à première vue anodine, car conciliable avec n’importe quelle forme de conviction. Portée par la vague charismatique, la pratique de l’ennéagramme s’est « cléricalisée » et répandue parmi les catholiques. Cependant, cette tentative se heurte au fait que les tenants de cette pratique récusent toute appropriation confessionnelle, et qu’au sein même de l’Église catholique, des théologiens la jugent anti-chrétienne.

À travers de très nombreuses références, l’auteur montre qu’il existe, au sein même des autorités ecclésiales, un conflit entre tenants et opposants de l’ennéagramme[2]Citons, parmi d’autres, les études d’Edouard Divry, o. p., « Ennéagramme et christianisme : éléments pour un discernement chrétien. Ire partie  », in Égards, n° 57 (juillet-août … Continue reading. Les premières réactions officielles viennent de certains prélats des États-Unis qui, dès les années quatre-vingt-dix, publient des documents critiques. Ils jugent que l’ennéagramme « dissout de manière malsaine la dimension irréductiblement personnelle des fautes existentielles, l’attribue de manière déterministe à une typologie mécanique et annule de la sorte la conception chrétienne du libre arbitre » (p. 39). 

L’auteur clôt ce chapitre en évoquant les mises en garde de Rome : « En 2003, le Conseil pontifical de la culture et le Conseil pontifical du dialogue interreligieux publient de concert, fait d’autant plus significatif qu’inhabituel, un document intitulé Jésus-Christ, le porteur de l’eau vive, qu’ils présentent en sous-titre comme « une réflexion chrétienne sur le Nouvel Âge » (p. 41). Ce texte aborde explicitement la question de l’ennéagramme. Le pape François reviendra sur le sujet en 2013 aux JMJ de Rio, en exposant les différentes manières usuelles de distordre le message évangélique : la réduction socialisante, l’idéologisation psychologique, la proposition gnostique et la proposition pélagienne (pp. 43-44).

Enquête sur l’ennéagramme

Dans le second chapitre, l’auteur mène l’enquête sur l’origine de l’ennéagramme. Les hypothèses sont nombreuses : les sages de Babylone, les mages de Chaldée, la Kabbale, les neuf fruits de l’Esprit dans l’épître de Paul aux Galates, l’école soufie et les Pères du désert, en particulier Évagre le Pontique (345-399), ce qui permet de rattacher l’ennéagramme à la spiritualité chrétienne. Mais outre que le rapprochement entre l’ennéagramme et Évagre semble forcé, il ne faut pas oublier que son nom a été inclus dans les condamnations des conciles de Constantinople de 553 et 560, à cause de la part d’origénisme qui se manifestait dans ses écrits et pouvait favoriser une gnose inassimilable à l’Évangile.

L’auteur montre avec pertinence « que les citations empruntées, décontextualisées, tronquées, permettent de faire dire à n’importe qui n’importe quoi » (p. 56). Cette enquête mène à la conclusion qu’on ne trouve aucune trace de l’ennéagramme avant Georges Ivanovitch Gurdjieff (1872 ?-1949). Les quarante pages que notre auteur lui consacre manifestent comment ce personnage sulfureux a su broder autour de lui une légende de voyages initiatiques, avant de fréquenter les cercles occultistes, en particulier la société théosophique. Comme beaucoup de théosophes célèbres, Gurdjieff cherche la « gnose primordiale », qui transcende les religions historiques, avant de fonder au Prieuré d’Avon, près de Fontainebleau, son « Institut pour le développement harmonique de l’homme », où il enseigne la Quatrième Voie dont l’emblème est l’ennéagramme. Il le conçoit comme une clé d’interprétation du monde.

C’est Piotr Ouspenski, son principal disciple, qui propagera ses théories dans le best-seller mondial intitulé Fragments d’un enseignement inconnu. Anne Lécu montre, à l’aide de nombreuses citations, comment Gurdjieff, par un grand nombre d’exercices, créait chez ses adeptes un état psychologique tel qu’ils ne raisonnaient plus, et pouvaient alors accepter avec enthousiasme n’importe quelle absurdité comme une révélation. L’auteur donne quelques exemples de « repentis » de son enseignement et de victimes, dont la plus célèbre est la romancière néo-zélandaise Katherine Mansfield. Selon la conception anthropologique de Gurdjieff, l’« essence » innée de l’enfant est contrariée par l’acquisition environnementale d’une « personnalité » dont il faut réduire la pression afin de réveiller en lui l’être « endormi », incapable de liberté et de puissance, valant au mieux une « machine » et pour lequel « la vérité et le mensonge n’ont aucune valeur morale, parce qu’un tel homme ne peut jamais s’en tenir à une vérité unique » (p. 76).

L’auteur nous explique que Gurdjieff n’a rien d’original. Il doit son inspiration « aux courants ésotériques nés avec la Renaissance, mêlant alchimie, astrologie, cabbale, numérologie, aux fraternités mysticisantes, sectes illuministes et cénacles rosicruciens… » (p. 78). Il va profiter de leur « machine à duperies ». « Sa seule innovation sera l’ennéagramme, dont il fera le noyau de sa propre entreprise de mystification » (p. 79). C’est pour cette raison que les défenseurs de l’ennéagramme se gardent bien de faire référence à Gurdjieff. Mais l’auteur démontre bien que les méthodes de développement personnel auxquelles appartient l’ennéagramme sont la version exotérique du mouvement ésotérique du Nouvel Âge.

Les quêteurs de l’ennéagramme 

Dans le troisième chapitre, l’auteur nous présente les quêteurs de l’ennéagramme : c’est ainsi qu’elle désigne ceux qui veulent en faire un usage chrétien. On arrive ici à la partie la plus importante de la réflexion de notre auteur, qui souligne que ces théoriciens « entrent comme par effraction, avec des présupposés contradictoires à ceux requis par la théologie, dans le long, vaste et difficile débat dogmatique sur la nature et la grâce ainsi que son corollaire, la prédestination et la liberté » (p. 116). À titre d’exemple, elle sélectionne quelques ouvrages :

– L’Ennéagramme, un itinéraire de la vie intérieure[3]Maria Beesing, Robert Nogosek, Patrick O’Leary, L’Ennéagramme, un itinéraire de la vie intérieure, trad. de l’anglais par Jean-Pierre Bagot, DDB, 1992, p. 8., dans lequel les auteurs, religieux issus de congrégations traditionnelles, tombent dans une certaine confusion entre les sphères psychiques et spirituelles : « Identifier et admettre sa “compulsion” dominante, c’est s’ouvrir plus pleinement à la vie en acceptant de faire front à ce “péché caché”. Et de se tourner vers Dieu pour guérir » (p. 116).

– Le guide de l’ennéagramme du fondateur de la communauté des Béatitudes s’intitule : Se connaître pour guérir, là où est ta blessure, là est ta rédemption[4]Gérard Croissant, dit Éphraïm, Se connaître pour guérir, là où est ta blessure, là est ta rédemption. Ennéagramme et homéopathie psychologique, Sarment, Éditions du Jubilé, 2003.. On ne peut être plus explicite.

– Bible et Ennéagramme[5]Rémi Joseph De Roo, Pearl Marie Gervais, Éric Salmon, Diane Tolomeo, Bible et Ennéagramme, traduit par Claire Dehelly, adapté par Olivia Varin-Bernier et Éric Salmon, illustré par Frank Lalou, … Continue reading, ouvrage collectif placé sous la houlette de Mgr Remi Joseph De Roo. Cet évêque canadien fut corrigé à plusieurs reprises par le cardinal Ratzinger pour ses positions ultralibérales. L’ouvrage rattache de grandes figures bibliques comme Abraham, Paul, David, Job, Marie-Madeleine, à l’un ou l’autre des neuf archétypes.  

L’auteur laisse le diacre Bertran Chaudet établir le bilan de ces « quêteurs » : « Psychologiser la spiritualité tend à remplacer la religion par des thérapies ou des techniques de développement personnel. L’homme accompli, selon cette perspective, étant celui qui a pris conscience et éliminé en lui le dualisme des valeurs du bien et du mal, devenant ainsi tolérant à tout, indifférent au niveau moral et tiède au niveau religieux[6]Bertran Chaudet, L’ennéagramme : une démarche syncrétique, une ambiguïté permanente, un système clos, http://pncds72.free.fr/902_enneagramme.php, consulté le 3 juin 2022. » (p. 129).

Enfin, l’auteur consacre de nombreuses pages à Mgr Pascal Ide, qui a mis au service de l’ennéagramme une argumentation philosophique et théologique bien supérieure à celle de ses confrères. Elle relève chez lui des contradictions et des tendances déterministes. P. Ide publie en 1999 Les neuf portes de l’âme[7]Pascal Ide, Les neuf portes de l’âme : ennéagramme et péchés capitaux, Sarment, Éditions du Jubilé, 1999., ouvrage dans lequel il revendique comme salutaire la collusion psycho-spirituelle. Après avoir repris la théologie classique du péché, il s’en écarte, tendant à « confondre une simple blessure affective qui altère la responsabilité, et un péché commis en acte ou en pensée qui implique une faute délibérée » (p. 145). Anne Lécu montre que c’est sur ce genre de théories que sont venues se greffer les pratiques contestables de certaines prières de guérison. Elle nous fait partager sa perplexité devant les contradictions de Pascal Ide. Celui-ci, d’ailleurs, fera son autocritique à partir de 2010 et essaiera de lever les objections venant des milieux chrétiens par des argumentations dont l’auteur nous expose les limites.

Récapitulation et appréciation

Anne Lécu achève son travail en récapitulant sa critique. L’ennéagramme provient de l’occultisme. Il repose sur un modèle initiatique, puisqu’on ne peut l’apprendre seul. C’est un dispositif axiomatique et totalisant. Il est autocentré et circulaire. Il est hors de tout processus de vérification. Il assigne à chaque individu un type qui s’apparente à un destin. Il génère un important commerce. Il engendre, potentiellement ou effectivement, inconsciemment ou consciemment, la manipulation. Il se veut éthique et conduit à pratiquer l’amoralité.

La critique est radicale. D’autres spécialistes, tout en étant négatifs sur les origines de l’ennéagramme et les abus de sa pratique, introduiraient sans doute davantage de nuances. On peut aussi regretter que l’auteur semble manquer de sérénité dans son réquisitoire, ce qui pourra donner occasion à certains de récuser à tort ses conclusions. Ainsi, on regrettera le choix d’un titre d’emblée agressif, qui nuira au souhait de l’auteur de faire que sa « démarche soit moins polémique que préventive » (p. 9).

La « dimension commerciale » du coaching en général, et des formations à l’ennéagramme en particulier, est fortement soulignée (pp. 31, 59, 97, 98, 101, 103, 168, 172, 181, 184). Elle correspond à une réalité, mais elle reste un argument à charge assez faible, dans la mesure où l’on peut s’enrichir avec un vrai traitement ou la diffusion d’une théorie exacte. À diverses reprises (pp. 8, 53, 157, 180), la non-falsifiabilité du système est mise en avant comme indice à charge (toute critique de l’ennéagramme pourrait s’expliquer en recourant à l’ennéagramme). Mais c’est un argument difficile à manier. Un thomiste ne pourrait-il pas expliquer par son anthropologie réaliste pourquoi certains refusent le thomisme ? On peut y voir un signe ou un mauvais signal (terme employé par l’auteur, pp. 8-9) plus qu’une preuve de la perversité du système, comme le présente le bilan de la page 180.

Cependant, l’ouvrage d’Anne Lécu est très éclairant. Tout en étant dense et profond, il est de lecture agréable. L’auteur présente les partisans de l’ennéagramme et ses opposants dans un style alerte, multipliant les exemples concrets et d’abondantes citations. Les nombreuses notes et références attestent du sérieux des recherches de l’auteur. Elle cite à bon escient saint Thomas d’Aquin, qui disait au XIIIe siècle : « Il n’existe pas de doctrine si fausse que du vrai n’y soit mélangé aux erreurs[8]Somme de théologie, II II, q. 172, a. 6.. » On ne peut donc que conseiller la lecture de ce livre qui appelle à un discernement nécessaire sur une technique envahissante aux effets bien souvent nocifs.

Références

Références
1 Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires.
2 Citons, parmi d’autres, les études d’Edouard Divry, o. p., « Ennéagramme et christianisme : éléments pour un discernement chrétien. Ire partie  », in Égards, n° 57 (juillet-août 2018), pp. 92-106 ; « Ennéagramme et christianisme : éléments pour un discernement chrétien. Suite et fin », in Égards, n° 58 (nov. 2018-janv. 2019), pp. 89-98. Ces articles sont disponibles en ligne sur la page « Academia » du père Divry, https://usi-ch.academia.edu/EdouardDivry (page consultée le 14 novembre 2024).
3 Maria Beesing, Robert Nogosek, Patrick O’Leary, L’Ennéagramme, un itinéraire de la vie intérieure, trad. de l’anglais par Jean-Pierre Bagot, DDB, 1992, p. 8.
4 Gérard Croissant, dit Éphraïm, Se connaître pour guérir, là où est ta blessure, là est ta rédemption. Ennéagramme et homéopathie psychologique, Sarment, Éditions du Jubilé, 2003.
5 Rémi Joseph De Roo, Pearl Marie Gervais, Éric Salmon, Diane Tolomeo, Bible et Ennéagramme, traduit par Claire Dehelly, adapté par Olivia Varin-Bernier et Éric Salmon, illustré par Frank Lalou, Albin Michel, 2013.
6 Bertran Chaudet, L’ennéagramme : une démarche syncrétique, une ambiguïté permanente, un système clos, http://pncds72.free.fr/902_enneagramme.php, consulté le 3 juin 2022.
7 Pascal Ide, Les neuf portes de l’âme : ennéagramme et péchés capitaux, Sarment, Éditions du Jubilé, 1999.
8 Somme de théologie, II II, q. 172, a. 6.
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