Références
↑1 | fondateur et prieur de la Fraternité Saint-Vincent-Ferrier |
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↑2 | de la Fraternité Saint-Pie X |
↑3 | ancien membre du Conseil Général de la Fraternité Saint-Pie X, l’un des douze fondateurs et le premier supérieur de la Fraternité Saint-Pierre, aujourd’hui recteur du séminaire Notre-Dame-de-Guadalupe de Denton (Nebraska) |
↑4 | Courrier de Rome, n° 655, juillet-août 2022. |
↑5 | L.-M. de Blignières, Réflexions sur l’épiscopat « autonome », Supplément doctrinal n° 2 à Sedes Sapientiæ, juin 1987 ; Du sacre épiscopal contre la volonté du pape, avec application aux sacres conférés le 30 juin par Mgr Lefebvre, Essai théologique collectif de membres de la Fraternité Saint-Pierre sous la direction de M. l’abbé Josef Bisig, sans date (en fait début 1989). |
↑6 | https://www.chemere.org/blog/2022/9/30/du-sacre-episcopal-contre-la-volonte-du-pape ; https://www.chemere.org/blog/2022/9/30/etude-episcopat-autonome |
↑7 | Abbé Gleize, art. cit., p. 9. |
↑8 | Mazzella, De Religione et Ecclesia, Romæ, 1880, p. 788. Le père de Blignières (op. cit., note 33, pp. 26-28) cite, outre saint Thomas d’Aquin, dix-sept théologiens classiques qui mentionnent cette relation de l’évêque à la régence de l’Eglise, qualifiée par eux d’aptitude radicale, de vocation, d’exigence, d’ordination, de destination. |
↑9 | PIE XII, Enc. Ad Apostolorum Principis, 29 juin 1958, AAS L, 1958, p. 612, Osservatore Romano, éd. quot., 8‑9 sept. 1958, reprise dans l’Edition Saint-Maurice 1958, p. 337. |
↑10 | Ibid. |
↑11 | Abbé Gleize, art. cit., p. 4. |
↑12 | Abbé Gleize, art. cit., p. 12. Cf. dans la brochure de l’abbé Bisig, pp. 34-36, les motivations exposées par Mgr Lefebvre le 30 mai 1988. |
↑13 | Il y a heureusement quelques prêtres et beaucoup de fidèles qui fréquentent les centres de la FSSPX qui ne partagent pas cette attitude et même parfois la déplorent. |
↑14 | Parfois cependant des dirigeants de la FSSPX soutiennent de leur propre initiative ce qui se trouve ordonné ou conseillé par la hiérarchie. |
↑15 | Depuis 1991, du vivant de Mgr Lefebvre, la FSSPX s’est arrogé sur ses fidèles (et potentiellement sur tous les catholiques), par la création de la « Commission Saint Charles Borromée », le « pouvoir de lier et de délier », usurpant le pouvoir de juridiction que le pape seul peut donner. En mai 2017, huit doyens du District de France de la FSSPX et trois supérieurs religieux affirmaient : « Nous continuerons à ne reconnaître comme ultime juge de ces questions [matrimoniales] que la Commission Saint Charles Borromée […] » (Le Chardonnet, n° 928, p. 4). |
↑16 | Abbé Gleize, art. cit., p. 11. |
↑17 | Somme de théologie, II II, q. 39, a. 1. Cette définition est reprise par le Code de droit canonique, CIC/1917, canon 1325 § 2 ; CIC/1983, canon 751. |
↑18 | La conférence qu’il a donnée le 15 janvier 2022 au XVe congrès du Courrier de Rome va dans le même sens. |
↑19 | Cajetan, Commentaire sur la Somme de théologie, IIa IIæ, q. 39, a. 1, n°2. |
↑20 | Le fait que le pape François, à partir de septembre 2015, ait concédé au bénéfice des fidèles, que ceux qui se confesseront aux prêtres le la FSSPX « recevront une absolution valide » ne signifie pas que les prêtres de la FSSPX sont en pleine communion avec l’Église. Le Pape peut parfaitement donner des pouvoirs à ceux qui sont séparés, même s’ils ne les demandent pas, sans que cela signifie qu’il reconnaisse leur pleine communion avec l’Église catholique. D’après beaucoup de théologiens, c’est le cas pour les confessions des Orientaux dissidents. |